La sixième extinction de masse est en cours. La perte de biodiversité est classée parmi les risques les plus graves pour la survie de l’espèce humaine. Et le coût de l’inaction pourrait représenter jusqu’à 125 000 milliards d’euros.
Le défi environnemental repose sur deux jambes : le réchauffement climatique accélère la perte de biodiversité, pourtant essentielle dans la régulation du climat. Ces crises jumelles s’alimentent l’une l’autre. Et les répercussions en matière d’impact social, sanitaire et alimentaire sont considérables. Tout est lié !
De plus en plus interpellées par leurs parties prenantes (salariés, clients, actionnaires), les entreprises doivent désormais rendre des comptes sur leurs efforts pour régénérer la nature. Mais elles ne sauraient à elles seules résoudre cette difficile équation.
Le sujet mobilise la société civile et figure tout en haut de l’agenda des pouvoirs publics ; les investisseurs cherchent à mesurer l’impact, même s’il n’existe pas de métrique unique comme l’émission de carbone pour le climat. Le monde académique a soif d’apporter sa contribution au débat.
Face aux discours déclinistes, Vivae se place résolument du côté des solutions en réunissant pour la première fois tous les acteurs, privés comme publics, investisseurs comme scientifiques. Elle a pour ambition de sensibiliser, accompagner, mutualiser les bonnes pratiques et, surtout, faire émerger les innovations adaptées à chaque secteur d’activité et chaque territoire.
Christine Rodwell
Vivae est née de la conviction que des solutions efficaces face à l’urgence écologique n’émergeront qu’en créant un dialogue constructif entre toutes les parties prenantes, dont Christine connaît, par son parcours, les enjeux et le fonctionnement :
• Les entreprises, en ayant travaillé au sein de deux multinationales et en étant administratrice d’une ETI et d’une start-up ;
• Les investisseurs, en conseillant un grand nombre d’entre eux ;
• La société civile, en ayant dirigé l’Association Reporters d’Espoir et monté un partenariat entre Veolia et la Fondation Rockefeller ;
• Les pouvoirs publics, en ayant créé et déployé
la stratégie Resilient Cities de Veolia dans une quinzaine de villes sur les 5 continents ;
• Le monde académique, en intervenant à HEC Paris depuis 15 ans.
Le conseil d'orientation
Représentatif des parties prenantes engagées dans l’initiative (entreprises, investisseurs, société civile, pouvoirs publics, monde académique), il définit les orientations stratégiques de Vivae et valide ses recommandations.
Président du Muséum National d’Histoire Naturelle
Directrice France de Conservation International
Président de Veolia
Directrice générale
d’Amundi
Président du Conseil de Surveillance de KPMG France
Haut-Commissaire à l’Emploi
et à l’Engagement des Entreprises